New York City : Monday

Pour faire court : le lundi nous devions visiter le musée du MOMA (The Museum of Modern Art) mais tout le monde a eu la même idée et donc il y avait minimum 3h de queue 🙁

Du coup, nous sommes aller sur la 5ieme avenue faire un peu de magasinage et nous avons consacré notre après midi a Central Park. Ce poumon naturel attire bien sur une quantité phénoménal de New-Yorkais et c’est bien logique car c’est magnifique ! On a même pu voir des vrais americains faire leur jogging avec le ipod et la trace de sueur au niveau du coup (moi qui pensait que c’etait que dans les films 🙂 ).

3h plus tard et 4km plus haut, nous arrivons au niveau de la 106ieme rue ou est garée la voiture. Juste le temps d’engloutir un vrai petit hotdog (7$ pour 4 hotdogs, 1 donut et 1 redbull 😉 Vive les US) et nous repartons vers Montréal… Non sans mal car les directions sont super mal indiquées …

Bref en trois mots : Super Week End …

New York City : Sunday

Réveille difficile après la grosse journée d’hier, mais bon on est pas venu pour jouer aux billes alors c’est reparti pour une journée de folie.

Il est donc 8h30 et un bon petit déj. plus tard nous partons direction « Chinatown » et « Little Italie ». Après plusieurs heures de ballade devant les étalages qui donnent envie de vomir le déjeuné, nous retournons dans le métro direction Brooklyn pour diner dans une des pizzérias les plus réputées de New York qui se trouve un dessous du pont de … Brooklyn. Avec un peu de chance, nous sommes arrivés tôt (un peu avant midi) et nous avons eu de la chance car 1h plus tard, environ 30 personnes faisaient la queue devant le resto. Voici l’adresse pour info :

Grimaldi’s
19 Old Fulton St
Brooklyn, NY 11201

Le ventre bien plein, nous avons pu admirer la vue sur le quartier de finance de Manhattan et ensuite marcher sur le superbe « Brooklyn bridge ».

La visite du quartier « Financial district » est assez impressionnante mais le plus marquant est bien sur la zone de « ground zero » et le trou gigantesque laissé par les tours du « World Trade Center ».

Direction ensuite « Staten Island » et le fameux ferry qui permet d’admirer la baie de New York, la statue de la liberté et Ellis Island … le tout gratuitement 😉 .

1h de traversée (aller-retour) et une bière plus tard, retour a Manhattan. Encore une journée super fatiguante mais bon ça vaut le coup !!!

New York City : Saturday

Il est 2h du mat … direction la grosse pomme !

Le réveille n’est pas facile et les six heures de route dans la Pontiac G6 V6 risque d’être assez dure.


Agrandir le plan

A 3h30 nous arrivons à la frontière. Comme d’habitude les américains sont chiants ….  » Mais ! C’est quoi votre passeport ? Et vous faites quoi au consulat ?  » …. Dans ce cas là, tu aimerai bien lui dire : « Fait pas chier, prends les 6$ et donne moi le papier vert » mais bizarement on se contante de répondre avec le sourire.

Bref, nous voila enfin aux US (état de New York) et on remarque que les indications sont toujours en français … Bon ok, ils nous prennent pour des cons car ils traduisent des mots comme « exit » ou « airport » mais bon l’intention est là !!!

Malgré l’absence de GPS (volé pendant le cambriolage) et Caroline comme copilote (c t pas gagné 😉 ), nous arrivons à New York vers 9h30. Nous trouvons directement l’auberge de jeunesse et il y a même une place juste devant pour garer le char … c pas beautiful tout ça 🙂

Bon ba faut pas trainer, il est 10h30 nous partons vers le centre ville de Manhattan et plus exactement Midtown !

Manhattan est l’une des 5 circonscriptions (borough) de la ville de New York, les quatre autres étant Brooklyn, le Queens, le Bronx et Staten Island. Il s’agit en fait d’une île de 52 km² et sa population est d’environ 1 500 000 (New York City : 8 143 200 et Le Grand New York : 21 000 000). L’île est la partie la plus dense et la plus riche de la ville et représente l’un des principaux centres financiers du monde.

L’utilisation du métro savère plus simple que prévu (même si c’est un peu la galère pour l’achat des tickets) et nous arrivons sur la 42ième rue, soit à deux pas de TimeSquare. Le choc est assez violent, il y a des buldings partout, du bruit, du monde et on se sent vraiment tout petit. Cependant, grâce au découpage de la ville avec les rues (d’est en ouest) et les avenues (du nord au sud), il est très facile de se repérer.

Au menu de cette première journée : Magasinage sur la 42ième, Time Square (de jour), Rockefeller Center, 5ième avenue (un peu car le Pape était dans le coin), Gare centrale, Broadway et Empire State Building.

La vue depuis le 86ième étage de l’Empire State est superbe (même avec les nuages). Nous somme ensuite retournés sur Time Square (complètement différent la nuit) manger dans un bar Irlandais.

La cabane à sucre

Et oui en mars et avril c’est le temps des sucres ! Ce qui correspond ici à la période de récolte de l’eau d’érable.

Je vais pas vous raconter exactement comment qu’ils font car en fait je ne sais pas vraiment 🙂 . Je vais quand même vous faire un petit « copier/coller » maison un peu plus bas.

Pour marquer le coup, nous sommes quand même allés manger à la cabane à sucre   « A la feuille d’érable« , au menu :

Hors d’oeuvre

  • Cretons
  • Salade de chou
  • Betteraves
  • Cornichons
  • Petits pains chauds
  • Soupe aux pois

Plat principal

  • Omelette cuite au four à bois
  • Jambon fumé à l’érable
  • Jambon forêt noir
  • Pommes de terre rissolées
  • Fèves au lard
  • Grillades de lard

Desserts

  • Tartelettes au sucre
  • Crêpes
  • Beignets
  • Bouchées à l’érable
  • Grands-pères dans le sirop
  • Oeufs dans le sirop
  • Tire d’érable

Boissons

  • Café
  • Thé
  • Lait

Malheureusement, nous y somme allés un soir et un petit peu trop tard dans la saison. Nous n’avons donc pas pu observer la récolte de l’eau d’érable et sans la neige ça perd un peu de son charme.

Voici quelque photos (toujours pas de camera 🙁 Merci Freddy ):

xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx

Récolte de l’eau d’érable

Les acériculteurs collectent l’eau d’érable à la fin de l’hiver ou au début du printemps, suivant les régions, lorsqu’il reste de la neige au sol et que des nuits de gel sont suivies par des jours de dégel. En effet, cette eau contient environ 2% à 3% de sucre. Ce sucre est stocké dans les racines à l’automne où il passe l’hiver. Au printemps, il monte par dessous l’écorce dans la totalité de l’arbre afin de fournir l’énergie suffisante pour relancer son métabolisme.

L’eau d’érable n’est pas la sève ! Celle-ci, nettement plus chargée en minéraux et molécules organiques complexes, ne remonte par les racines que lorsque le métabolisme de l’arbre est relancé. L’arrivée de la sève et de son goût amer marque la fin de la récolte d’eau d’érable. Donc, on ne récolte pas la sève mais l’eau d’érable.

Goutte d’eau d’érable

On ne récolte jamais l’eau d’un érable dont le tronc fait moins de 20 cm de diamètre. La règle générale est donc d’attendre jusqu’à 45 ans après la plantation d’un érable avant de commencer à récolter son eau. Cependant, un érable à sucre peut vivre jusqu’à 300 ans, voire davantage. Il peut donc donner de l’eau à chaque printemps pendant un grand nombre d’années.

Évaporation

C’est uniquement après l’évaporation que l’eau devient plus consistante et donne naissance au sirop d’érable. Il faut entre 35 et 40 litres d’eau d’érable pour obtenir un litre de sirop.

Il est important d’évaporer ni trop, ni trop peu. Car, si le sirop est trop dense, il va cristalliser. Et, s’il est trop liquide, il risque de fermenter. La température idéale à donner au sirop d’érable est de 3,5 °C de plus que la température d’ébullition de l’eau, par exemple, à 101,3 kPa, l’eau bouillant à 100 °C, le sirop sera prêt lorsqu’il atteindra 103,5 °C. Il faut adapter ces valeurs à celle de la pression atmosphérique du lieu (altitude) et du moment. On peut aussi mesurer la densité du produit fini à l’aide d’un hydrotherme.

Le sirop d’érable est ensuite classé par teinte : d’extra clair à foncé. Plus le sirop est clair, meilleure est la classe, mais moins le goût est prononcé. Le sirop le plus fin est produit en mi-saison. Pendant longtemps, la préférence est allée vers un sirop d’érable qui soit le plus clair possible. Pour comprendre cela, il faut savoir que, jusqu’au XVIIIe siècle, le sirop d’érable était principalement consommé directement par les producteurs ou par leurs proches. À l’époque, il était pour ces personnes plus difficile et plus cher d’obtenir du sucre de canne que du sirop d’érable. On cherchait à obtenir un sucre d’érable qui se rapproche le plus possible du sucre de canne. Aujourd’hui, certains reviennent à des sirops plus colorés car ils ont un goût plus prononcé.

Les différentes qualités de sirop et d’eau d’érable influent sur le processus, généralement réalisé à la cabane à sucre.

(source : Wikipedia)

xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx